Diverses citations ajoutées au cours du voyage, chacune étant liée à un évènement, une rencontre, …
Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même. On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues…
Et il n’est rien de plus beau que l’instant qui précède le voyage, l’instant où l’horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses. »
Twenty years from now you will be more disappointed by the things you didn’t do than by the ones you did do. So throw off the bowlines, sail away from the safe harbor. Catch the trade winds in your sails. Explore. Dream. Discover.
Si vous parlez à un homme dans une langue qu’il comprend, cela va dans sa tête. Si vous lui parlez dans sa langue, cela va dans son coeur.
Les sites les plus beaux ne sont que ce que nous en faisons. Quel homme un peu poète n’a dans ses souvenirs un quartier de roche qui tient plus de place que n’en ont pris les plus célèbres aspects des pays recherchés à grands frais !
Le tourisme est le moyen qui consiste à amener des gens qui seraient mieux chez eux dans des endroits qui seraient mieux sans eux.
On ne fait pas un voyage. Le voyage nous fait et nous défait, il nous invente.
Courir le monde de toutes les façons possibles, ce n’est pas seulement la découverte des autres, mais c’est d’abord l’exploration de soi-même, l’excitation de se voir agir et réagir. C’est le signe que l’homme moderne a pris conscience du gâchis qu’il y aurait à rendre passive une vie déjà bien courte.
Un homme voyage pour sentir et pour vivre. A mesure qu’il voit du pays, c’est lui-même qui vaut mieux la peine d’être vu. Il se fait chaque jour plus riche de tout ce qu’il découvre. Voilà pourquoi le voyage est si beau, quand on l’a derrière soi : il n’est plus, et l’on demeure ! C’est le moment où il se dépouille. Le souvenir le décante de toute médiocrité. Et le voyageur oublie toutes les ruses de la route et tous les ennuis
Heureux le touriste qui a tout vu avant l’arrivée des touristes.
Les touristes ont horreur de regarder. L’appareil regarde pour eux. Quand ils ont fait clic-clac, ils sont apaisés, ils ont amorti leur voyage. Les piles de photos qu’ils conservent sont autant de diplômes certifiant qu’ils se sont déplacés.
Machu Picchu es un viaje a la serenidad del alma, a la eterna fusión con el cosmos, allí sentimos nuestra fragilidad. Es una de las maravillas más grandes de Suramérica. Un reposar de mariposas en el epicentro del gran círculo de la vida. Otro milagro más.
Ce qui caractérise la différence entre le voyageur, espèce qui fut toujours rare et le demeure, et le touriste, c’est que le touriste ne cesse de pester contre le touriste. Les touristes, bien entendu, ce sont toujours les autres.
La vie est un long champ à cultiver. Voyager, c’est y semer la diversité de la Terre. Voyager, c’est l’embellir des couleurs du monde.
Ceux qui voyagent n’ont pas le temps d’écrire ; ceux qui écrivent n’ont pas le temps de voyager.
Je sais, d’expérience, que courir le monde ne sert qu’à tuer le temps. On revient aussi insatisfait qu’on est parti. Il faut faire quelque chose de plus.
Naturellement, les voyages autour du monde ne sont pas aussi agréables qu’ils le paraissent. C’est seulement quand vous avez fui toute cette horreur et toute cette chaleur que vous en oubliez les désagréments et que vous vous souvenez des scènes étranges que vous avez vues.